Après s’être attaqué à l’auteur le plus sulfureux de tous les temps en se réappropriant Justine du Marquis de Sade, Johann Dizant se tue dans son nouveau roman « Sabrina » juste avant d’obtenir le prestigieux prix littéraire, le Goncourt.
Sabrina nous entraine avec rudesse dans les traumatismes qu’une femme conserve après la séparation parentale. Un monde résolument moderne, des personnages terriblement humains, des dialogues étrangement justes. Ce livre nous plonge, nous, lecteur, dans une réalité volontairement occultée parfois tant elle peut nous sembler difficile à appréhender
Début du roman :
« Putain de bordel !... Je ne sens plus mon corps… Je suis paralysée... Mes paupières… impossible de les ouvrir. Je suis en train de crever ! Merde, qui va s’occuper du chat ? »
Sortie le 18 mars 2017 aux éditions IKOR
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